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Qui vient jouer au parc?

Il transforme la marche en programme d’entraînement et convertit des parcs urbains en gymnases naturels. Technique américaine de mise en forme, le power walk fait de plus en plus d’adeptes chez nous.

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Il transforme la marche en programme d’entraînement et convertit des parcs urbains en gymnases naturels. Technique américaine de mise en forme, le power walk fait de plus en plus d’adeptes chez nous. À Montréal, l’organisme Cardio plein air forme des groupes (féminins à 95 %) qui arpentent notamment le Mont-Royal, le parc Angrignon et le parc Maisonneuve. Beau temps, mauvais temps, la séance commence par une petite marche modérée en guise de réchauffement. Puis le défilé s’anime : marche rapide, mouvements de danse, déplacements dans tous les sens. Ensuite, les gens fixent des bandes élastiques à des tables de pique-nique ou au tronc des arbres pour quelques minutes d’étirement. Les abdominaux (sur matelas mousse) se font avec vue sur le feuillage et les nuages. À la fin de la séance, la relaxation taï chi ramène le calme dans le cœur et la tête. Le power walk est une passion quatre saisons et se pratique donc aussi dans la neige !

Aucune condition préalable n’est exigée sur le plan de la forme physique. Il suffit de vouloir jouer au parc pendant une petite heure et quart, deux fois par semaine. Les horaires s’adaptent autant aux lève-tôt qu’à celles et ceux qui savourent leur bouffée d’air frais en après-midi ou au coucher du soleil.